Le jardin de ce pavillon des années 60 était resté dans son jus. Les végétaux, des juniperus, des thuyas, des cotoneasters, avaient fini par envahir l’arrière de la maison, au point que celui-ci n’était plus qu’un passage. L’idée était de faire de cet endroit abrité des regards un coin de détente, propice à la lecture et aux discussions.
Des pierres de travertin ont été choisies pour éclairer cet endroit plutôt ombragé et accueillir des bancs coordonnés. Des fleurs aux tons doux viennent habiller les pierres, avec une attention particulière portée à l’échelonnement des floraisons, pour un jardin beau d’avril à octobre.